Albert Corrieri se bat depuis son retour d’Allemagne en 1945, pour faire reconnaître son préjudice, moral et financier lors de sa déportation depuis Marseille. Le 13 mars 1943, réquisitionné par les SS, il est envoyé de force au Service du Travail Obligatoire (STO) à Ludwigshafen. Le doyen des porteurs de la flamme olympique, n’a de cesse de demander réparation auprès de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre et du ministère des Armées. Lire l’article complet