Il y a un an, des émeutes secouaient le pays après la mort de Nahel, tué par balle par un policier, laissant à Marseille près de 200 boutiques du centre-ville vandalisées. Avec les élections qui se profilent, les commerçants redoutent de vivre le même scenario et demandent à l’État d’assurer leur sécurité « à grand renfort de l’armée ou des CRS dans toute la ville ». Lire l’article complet