« Je ne serai l’otage d’aucun chantage », a déclaré vendredi Michèle Rubirola, la candidate du Printemps Marseillais après que la sénatrice ex PS Samia Ghali a annoncé qu’elle conditionnait son soutien à l’obtention du poste de première adjointe.
« Je ne serai l’otage d’aucun chantage », a déclaré vendredi Michèle Rubirola, la candidate du Printemps Marseillais après que la sénatrice ex PS Samia Ghali a annoncé qu’elle conditionnait son soutien à l’obtention du poste de première adjointe.