A la suite de l’arrêté de péril pris par la Ville le 16 novembre, ce squat occupé essentiellement par des demandeurs d’asile doit être évacué lundi. La ville de Marseille demande à l’Etat une « mise à l’abri inconditionnelle de ses occupants ».
A la suite de l’arrêté de péril pris par la Ville le 16 novembre, ce squat occupé essentiellement par des demandeurs d’asile doit être évacué lundi. La ville de Marseille demande à l’Etat une « mise à l’abri inconditionnelle de ses occupants ».