« J’ai peur de la retrouver morte ». Quand le confinement général est annoncé, le 17 mars dernier, Antonia Santarelli se retrouve bloquée à Marseille, loin de sa mère dont elle prend soin, logée à Propriano. Et rentrer aujourd’hui auprès de cette dernière s’apparente à un parcours du combattant.