En identifiant “la signature moléculaire” de cette tumeur qui a le moins bon taux de survie à cinq ans, les spécialistes de l’Institut Paoli-Calmettes estiment que les patients pourraient obtenir un traitement plus efficace.
En identifiant “la signature moléculaire” de cette tumeur qui a le moins bon taux de survie à cinq ans, les spécialistes de l’Institut Paoli-Calmettes estiment que les patients pourraient obtenir un traitement plus efficace.